Consommations et Prix des énergies en France, VEOTHERM apporte une solution...
Electricité, gaz et fioul, les prix flambent en 2020
Malgré un certain ralentissement de l’augmentation des combustibles ces dernières années, les prévisions à moyen terme font consensus : les tarifs des énergies fossiles dès cette été ont commencés et vont continuer de flamber.
A l’horizon 2020, dans les 4 ans a venir, les factures énergétiques auront, de fait, une part grandissante dans le budget des ménages et des entreprises. Pour contrer cette hausse, il est donc nécessaire de faire évoluer les habitudes de consommation et de procéder, pour les particuliers et les entreprises, à une amélioration énergétique de leur logement et de leur outil de travail.
En tant que concepteur et fabricant, notre discours est d'aider à faire prendre conscience de l’urgence de la situation et à apporter des solutions lors de la transition énergétique :
2020, c’est demain.
les chaudières hybrides ou les pompes à chaleur, semble une étape inévitable. VEOTHERM offre une solution unique englobant ces deux technologies. Une bonne connaissance des perspectives d’augmentation pour les années à venir, enrichit votre discours auprès de vos clients, et optimise les conseils qu’un professionnel des économies d’énergie peut leur apporter. Des augmentations de 20% pour le gaz, à un tarif doublé pour le fioul, le passage à des équipements moins énergivores, semble nécéssaire et inévitable Une bonne connaissance des perspectives d’augmentation pour l'électricité, gaz et fioul.
Une part de l’augmentation des tarifs de l’électricité et du gaz dans les années à venir sera due aux investissements à réaliser sur les réseaux. En effet, les réseaux électriques et gaziers français sont vieillissants et réclament d’importants travaux, de sécurisation notamment. Les coûts d’exploitation et de production sont aussi à la hausse, quel que soit le type d’énergie. Et ce, malgré l’augmentation de la production. Pour le gaz, par exemple, sa production suit la hausse de la demande, mais ses frais d’exploitation n’en diminuent pas moins. Pour l’électricité, ce sont les déchets du nucléaire et les coûts mal maîtrisés des EPR (réacteur pressurisé européen),qui pèseront de plus en plus sur les prix. Quant au pétrole, la demande internationale implique une hausse constante des cours, même si celle-ci s’est un peu ralentie ces derniers mois.
(source et chiffre : Lise Bernard & l'Ademe)